Alendronate

À partir de cet ensemble de données, on a identifié les femmes de 65 ans et plus qui avaient récemment entamé un traitement hebdomadaire base d'un bisphosphonate, soit risédronate 35 mg N 12.215 ; soit alendronate 35 mg ou 70 mg N 21.615 ; . Les patientes devaient présenter des antécédents médicaux d'au moins six mois avant le début du traitement ; elles ont été suivies pendant 12 mois après l'instauration du traitement par le bisphosphonate, afin d'évaluer l'incidence des fractures 6 et 12 mois la fois pour les fractures de la hanche et pour un groupe composite de sites non vertébraux hanche, poignet, clavicule, humérus, bassin et jambes ; . Des méthodes statistiques standards ont été utilisées pour comparer l'incidence des fractures entre les groupes risédronate et alendronate modèle des risques proportionnels de Cox ; . Comme avec toutes les études de cohorte rétrospectives, cette étude présente un problème important, savoir que dans la pratique clinique réelle, les patientes ne sont pas placées de manière aléatoire dans des groupes de traitement, ce qui introduit potentiellement un biais de sélection au niveau des résultats. Les groupes risédronate et alendronate ont été comparés en termes de facteurs de risque de fracture l'entrée dans l'étude, et les résultats ont été ajustés pour le risque afin de tenir compte des différences éventuelles dans le risque de fracture initial. Dans le cadre de cette étude, les patientes sous risédronate ont présenté une réduction de l'incidence des fractures de la hanche de respectivement 46% IC 95% 9%-68%, p 0, 02 ; et 43% IC 95% 13%-63%, p 0, 01 ; 6 et mois, par rapport aux patientes prenant l'alendronate. Avant l'ajustement pour le risque afin de tenir compte des différences initiales en termes de risque de fractures, l'incidence brute des fractures dans chaque population se présentait comme suit: À six mois, 0, 29% des patientes sous alendronate avaient subi une fracture de la hanche, par rapport 0, 17% des patientes sous risédronate. À 12 mois, 0, 58% des patientes sous alendronate avaient souffert d'une fracture de la hanche, par rapport 0, 37% des patientes sous risédronate. S'agissant des fractures non vertébrales, les patientes sous risédronate ont présenté une réduction de l'incidence des fractures non vertébrales de respectivement 19 % IC 95% 0%-35%, p 0, 05 ; et 18% IC 95% 2%-32%, p 0, 03 ; 6 et mois, par rapport aux patientes prenant l'alendronate. Avant l'ajustement pour le risque afin de tenir compte des différences initiales en termes de risque de fractures, l'incidence brute des fractures dans chaque population se présentait comme suit: À six mois, 1, 31% des patientes sous alendronate avaient subi une fracture non vertébrale, par rapport 1, 14% des patientes sous risédronate. À 12 mois, 2, 30% des patientes sous alendronate avaient subi une fracture non vertébrale, par rapport 1, 99% des patientes sous risédronate. Pour obtenir des informations sur les effets indésirables associés chaque traitement, veuillez consulter la notice complète de chaque médicament. Tous les investigateurs de l'étude ont pu consulter l'intégralité des données, et chacun d'entre eux a vérifié de manière indépendante les résultats des analyses au sein de leurs institutions respectives. Cette étude a été sponsorisée par l'Alliance pour une meilleure santé des os. À propos de l'ostéoporose L'ostéoporose est une maladie du squelette qui augmente la fragilité osseuse et accroît le risque de fracture. La fracture, une conséquence désastreuse de l'ostéoporose, peut toucher n'importe quel site corporel. Le risque d'une 7 femme de 50 ans de subir une fracture ostéoporotique au cours de sa vie est de l'ordre de 40% - un risque équivalent au risque qu'a une femme de développer une maladie cardiovasculaire au cours de sa vie8. Le risque qu'a une femme de subir au cours de sa vie une fracture de la hanche est plus élevé une femme sur six ; que celui 9 de développer un cancer du sein une femme sur neuf ; , et le taux de décès associé aux complications des fractures 10 de la hanche est plus élevé. À propos d'Actonel Actonel sodium de risédronate ; est indiqué pour la prévention et le traitement de l'ostéoporose chez les femmes 11, 12 postménopausées. Les essais cliniques ont démontré que le risédronate réduit le risque de fractures vertébrales 10 13 et non-vertébrales , y compris les fractures de la hanche . Dans les essais cliniques, l'incidence globale des événements indésirables associés au risédronate était comparable celle du placebo. Les principaux événements indésirables rapportés étaient les douleurs musculo-squelettiques, les douleurs abdominales, la dyspepsie et les nausées14. Dans une méta-analyse portant sur plus de 10.000 patientes incluses dans 9 essais cliniques, le risédronate, comparé au placebo, n'était pas associé une fréquence accrue de événements indésirables du tractus gastro-intestinal supérieur, même chez les patientes présentant 15 un risque élevé de ces événements . Étant donné que certains bisphosphonates ont été associés des troubles du tractus gastro-intestinal supérieur, il convient de respecter strictement la posologie indiquée pour les risédronate 13 et les instructions d'administration et achat de allegra.
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Le stade final du traitement des hommes avec osteoporosis implique l'utilisation de médications comme le bisphosphonates alendronate et risedronate et alprazolam online. 51 ; C07K 14 605 84 ; AT 28.12.2005.

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11 ; 1 410 051 ; G01R 31 00 84 ; 19.01.2006 84 ; ES 30.01.2006.
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